Portrait

Caroline, ingénieure et étudiante en philosophie au Cycle Phi

Jeune professionnelle travaillant dans le secteur de l’assurance, Caroline Mazziotto, nous parle de sa licence de philosophie en cours du soir à l’ICP.

Caroline Mazziotto_cycle phi_juin2016
> Venez-nous rencontrer le mardi 11 juillet à 19h à l'ICP pour en savoir plus sur la formation.


Pourquoi avoir choisi de reprendre des études de Philosophie ?

Cela m’est apparu comme la meilleure façon de répondre à un besoin d’épanouissement intellectuel que mon activité professionnelle ne me permettait pas de satisfaire pleinement. Diplômée de l’ENSAE, la philosophie a toujours été la matière sur laquelle se portait le plus vivement mon intérêt.
Le Cycle Phi de l’ICP est la seule formation à Paris permettant de concilier activité professionnelle et suivi de cours de licence de philosophie en soirée, autrement que par correspondance ou en ligne.

Comment conciliez-vous vie professionnelle et vos études ?

Les cours démarrent à 20h, deux soirs par semaine. Il n’est pas toujours facile de se libérer d’une journée de travail qui peine à se finir pour sauter dans le métro et enchaîner avec deux heures de cours, mais le jeu en vaut largement la chandelle ! Finir la journée en philo rattrape bien des choses !

 

Qu'en retirez-vous ?

La lecture systématique et rigoureuse des textes philosophiques et la mise en lumière des méthodes argumentatives employées par leurs auteurs permettent de structurer solidement sa pensée. Cette structuration de la pensée est naturellement réutilisée dans la vie professionnelle : aller à l’essentiel, saisir les points clés d’un projet, ses enjeux, les envisager au travers de conséquences à plusieurs échelles… tout cela paraît plus facile à côté de la réelle compréhension de quelques pages d’Aristote !
D’un point de vue personnel, l’étude de la philosophie permet de s’épanouir intellectuellement plus librement quand dans l’espace et le temps de la vie en entreprise.

 

Selon vous, quels sont les points forts du Cycle Phi ?

Cette formation s’adapte à son public, un peu différent des étudiants classiques. Issus de mondes professionnels variés (architectes, entrepreneurs, statisticiens…) ils n’ont pas forcément assisté à des cours depuis longtemps. Ce grand mélange des genres donne un terreau très fertile pour les enseignants qui sont ravis de changer un peu d’auditoire. La petite taille de la classe (une quinzaine d’élève) permet de discuter de façon intéressante et éclairante.
Publié le 6 juin 2016 Mis à jour le 20 novembre 2023

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