A Haute Voix !, le débat au coeur de l'ICP

À Haute Voix ! a été créée en 2018, à l’initiative d’un groupe d’étudiants. Le projet a immédiatement rencontré un grand succès sur le campus et a continué de se développer jusqu’à devenir une association étudiante en 2021. « Ce changement de statut permet d’avoir une meilleure structuration et d’organiser des événements en dehors de l’ICP afin de proposer par exemple d’autres horaires de débat » précise Lucrèce, qui a commencé son engagement dans l’association au pôle communication et qui est maintenant co-présidente.

Débattre en toute liberté

Un jeudi soir sur deux, À Haute Voix ! offre un temps de rencontre et de débat à l’ICP sur une thématique proposée au préalable aux étudiants. « Notre objectif est d’offrir un espace de discussion plus léger, qui nécessite moins de préparation que l’art oratoire » souligne Anaïs, qui a commencé son engagement au sein du pôle évènementiel et partenariat, et qui est maintenant secrétaire de l’association.

Les organisateurs proposent ainsi en amont de la soirée un vote via le compte Instagram de l’association pour déterminer le prochain sujet de débat. Une fois la thématique sélectionnée, ils travaillent le sujet afin de lancer le débat le jour J. Un modérateur encadre les échanges, répartit les temps de parole des participants et relance la discussion si besoin. Le Bureau a ainsi un rôle primordial lors du débat, en plus de travailler le sujet en amont pour le présenter aux étudiants, il s’assure de l‘encadrement du débat.
 

Un espace d’échanges

À Haute Voix ! permet ainsi à tous ceux qui aiment débattre et confronter leurs idées, d’avoir un vrai moment de discussion dans un cadre de confiance. « J’ai toujours adoré débattre avec les membres de ma famille mais tous ne sont pas forcément réceptifs. Cette association me permet de le faire et d’apprendre des autres aussi et de faire évoluer notre façon de penser ! » ajoute Anaïs.
Parallèlement à ces rendez-vous, l’association propose « les séances à voix basse ». Organisées de façon plus aléatoire, elles permettent aux étudiants de s’exprimer sur des sujets qui les touchent personnellement. « Par exemple, nous avons organisé une séance sur le thème des étudiants fantômes et leurs difficultés pendant la crise sanitaire. Cela a permis de libérer la parole et en a aidé plus d’un ! » explique Lucrèce.